Le C2i est mort, vive le PIX !

ATTENTION !
En juin 2019, le C2i niveau 1 a connu sa dernière session.
PIX prend le relais pour certifier vos compétences numériques.

mardi 4 mars 2014

Complément sur les suites bureautiques (traitement de texte, diaporama, tableur)


Aucun homme est une île spectacle de Fabrice Melquiot





Accro à ton Smartphone ? Norman


Logiciels de traitement de texte




Mise en forme de paragraphes




Notion de paragraphe




Visuellement, un paragraphe est le plus souvent marqué par un saut de ligne avant et après un  groupe de caractères, avec parfois un alinéa, à savoir un léger renfoncement ou « retrait » de début de paragraphe ou retrait de 1ère ligne.





3 paragraphes sans alinéa : le 1er centré, le 2ème aligné à gauche, le 3e justifié






Paragraphe avec un alinéa





Dans un traitement de texte, il est recommandé de taper le texte « au km » puis de le mettre en forme. Quand on procède de la sorte, les retours à la ligne se font automatiquement.



Chaque fois qu’on force le passage à la ligne suivante avec la touche « entrée », on crée un paragraphe (non visible si vous n’avez pas créé un retrait de début de paragraphe). Par conséquent sur un traitement de texte est paragraphe un groupe de mots pas forcément suivi d’un saut de ligne.




Affichage des marques délimitant des paragraphes



Si l’on veut forcer le retour à la ligne sans pour autant créer un paragraphe, « insérer un saut de retour à la ligne » ou  MAJ+Entrée.

 

Propriétés des paragraphes




Pour chaque paragraphe on peut définir :

  • les « Retraits » à gauche et à droite, le retrait de 1ère ligne

  • l’« espacement » avant et après chaque paragraphe et « l’interligne » (espace entre lignes du paragraphe)

  • des tabulations (on peut en placer d’autres que celles définies par défaut)...





Menu paragraphe de Word 2003





Pour placer des taquets de tabulations : Cliquer sur Tabulations ou mieux Affichage – cocher règle et cliquer sur la règle







La théorie de l’information d’Aurélien Bellanger NRF Gallimard



Mise en page d’un document et de ses pages




Quand on met en forme les pages d’un document, on utilise les propriétés propres aux pages ou aux sections de ce document. Ainsi, on définit :



  • les marges (à gauche, à droite, en haut, en bas)
  • l’orientation du document (portrait ou paysage)
  • les sauts de page
  • les sections (on crée un saut de section par exemple lorsqu’on veut changer temporairement la mise en forme des pages : ex. une page au format paysage)


Les styles




Un style est un ensemble de caractéristiques de mise en forme que l'on peut appliquer au texte (paragraphe), aux tableaux et aux listes d'un document afin de modifier rapidement leur aspect. Lorsque l'on applique un style, on applique un ensemble de caractéristiques de mises en forme (police, taille, couleur, niveau hiérarchique de texte : titre 1,2 ou corps de texte...)  de manière simple et unique.



Styles sous Word 2003




Tout traitement de texte propose des styles par défaut. Par exemple, sous Word : Times New Roman ou Calibri- taille 12 - corps de texte

Application d’un style ou création d’un style




On applique un style pour se conformer à une charte typographique (celle d’une organisation) ou pour personnaliser ses documents.  



Pour reproduire une mise en forme (style ou autre) : sélectionner le paragraphe comportant la mise en forme qu'on veut réutiliser ailleurs puis utiliser le pinceau « reproduire la mise en forme » du menu (cliquer-glisser).






 Book la révolution technologique (espagnol ST)



Logiciels de présentation (création de diaporamas)



L’utilisation du mode « masque de diapositives »




Pour commencer l’élaboration d’un diaporama, il peut être judicieux d’utiliser le mode « masque de diapositives » qui permet de définir/choisir les éléments invariants des diapositives, notamment en arrière-plan  des éléments de charte graphique d’entreprise tel que le logo. Ainsi des « thèmes de masque » paramétrables sont proposés par exemple par Powerpoint.

Si l’on veut introduire une modification applicable à toutes les diapositives, on le fera de même en mode « masque de diapositive ».




visualisation d’un masque de diapositive sous OpenOffice




Les effets d’animation 

 


Les effets de transition entre les diapos




Par défaut quand on active le diaporama (mode diaporama), les diapos s’enchaînent avec un effet de transition. Le logiciel en propose d’autres.

En cinéma, l’effet de transition entre deux images/séquences le plus connu est le fondu enchainé.







 

Les effets d’animation d’objets d’une diapo




On peut également animer les différents objets d’une même diapositive (Un titre, un cadre texte, une image... sont autant d’objets de la diapositive).

Utiliser un effet d’animation d’objets consiste à faire apparaître successivement ces différents objets (dans un certain ordre) et à choisir l’effet par lequel ils apparaissent (effet mosaïque ou un double salto périlleux J etc).

Autrement dit, plutôt que de donner à voir instantanément le contenu de la diapositive, on dévoile pas à pas ses différents éléments avec des effets d’apparition.









 



Stop ! You're killing me with Powerpoint (anglais presque facile sans sous-titrage)

 

Logiciels tableurs




Classeur, feuille de calcul, cellules




Le fichier créé par un tableur est aussi appelé classeur. Il comporte plusieurs feuilles de calcul. Chaque feuille de calcul comporte des cellules référencées par une ligne (numérotation de 1 à n) et par une colonne repérée par une lettre majuscule (A, B, C....).



Conventions pour désigner un groupe de cellules




Pour un groupe de cellules contiguës, on utilise le signe de ponctuation :



=SOMME(A1:C1)



A1:C1 signifie ici qu’on fait la somme des cellules d’A1 à C1, autrement dit des cellules  A1, B1, C1








=SOMME(A1:C2)

A1:C2 signifie qu’on fait ici la somme des cellules d’A1 à C2, autrement dit des cellules A1, B1, C1, A2, B2 et C2 (les deux lignes pour les colonnes A, B et C)



Pour un groupe de cellules non contiguës, on utilise le signe de ponctuation ;



=SOMME(A1:C1;A3) qu’à la première plage de valeurs on rajoute la valeur A3



En résumé, A1:C1 est équivalent à A1;B1;C1



Formule de calcul et adressage des données




Deux modes d’adressage des données dans les calculs sont utilisés par les tableurs.

Le plus souvent, comme dans les exemples ci-dessus, on utilise l’adressage relatif qui a pour conséquence que si on recopie cette formule vers le bas dans la cellule en dessous : =SOMME(A1:C1) devient =SOMME(A2:C2)



Problème lorsqu’on veut recopier une formule comportant une valeur se trouvant dans une cellule et qu’on veut l’utiliser dans les formules qu’on recopie (que ce soit vers le bas ou vers la droite).

Dans ce cas on recourt à l’adressage absolu en posant un $ devant l’indicatif de ligne et de colonne de la cellule.



Si on recopie =SOMME(A1:C1)*$A$3 vers le bas (la valeur contenu dans la cellule A3 est fixée (adressage absolu), elle devient =SOMME(A2:C2)*$A$3









Snap The power 1990 vs Punjabi MC




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire